L’ère de Léon X a les caractéristiques d’une période insurpassable, liée au parcours de Raphaël, à la montée de son école et au séjour romain de Michel-Ange.
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Le Trecento : l’éclosion de la Renaissance
Dès les années 1280-1290, les prémices de la Renaissance s’annoncent en Italie centrale. Une métamorphose picturale déclenche un processus irréversible : la rupture avec Byzance.
Continuer la lectureClément VII Médicis
Le sac de Rome referme un cycle. Depuis quelque temps déjà, des artistes comme Giulio Romano ou Sebastiano del Piombo avaient commencé de quitter une ville.
Continuer la lectureLes derniers ducs de Ferrare
Ferrare, ce centre de la culture figurative et littéraire, servit alors de décor de grands spectacles où se consumait l’identité chevaleresque de la splendeur de son âge d’or.
Continuer la lectureLe Trecento : De Rome à Assise, les précurseurs
Vers 1300, grâce au mécénat du pape Nicolas III puis de Boniface VIII, Rome devient le lieu d’une effervescence artistique à laquelle met fin l’exil en Avignon.
Continuer la lectureGiotto et l’école florentine
Au début du XIVe siècle, avec Giotto, la peinture prit une place déterminante dans les arts figuratifs, avec la création d’une « école florentine ».
Continuer la lectureLe Trecento à Florence : Giottino et la « manière douce »
Vasari a défini la peinture post-giottesque comme « une manière très douce et très unie », qui sera portée aux plus hauts sommets par Giottino.
Continuer la lectureLe Trecento à Sienne
À Sienne, vers 1315, avant même la mort de Duccio (1318), une nouvelle génération de peintres qu’il a sans doute formée prend la relève.
Continuer la lectureLa peinture du Trecento à Rimini et Bologne
La culture toscane et l’art de Giotto pénètrent d’abord dans l’Italie septentrionale par l’intermédiaire des peintres de Rimini.
Continuer la lectureLes grands centres artistiques : Padoue et Venise
Padoue, ville d’université toute proche de la puissante Venise devint, grâce à la présence de Giotto, l’une des capitales de la peinture italienne.
Continuer la lectureLe style maniériste
Le terme « maniera », d’où découle « maniérisme » (manierismo) en italien, semble généralement employé dans la littérature artistique du XVIe siècle.
Continuer la lecturePontormo
Pontormo devint l’un des représentants de la « manière » florentine élaborée à Florence au début du XVIe siècle.
Continuer la lectureRosso Fiorentino
Rosso Fiorentino fut l’un des créateurs de la « manière » florentine avec le Pontormo et d’autres artistes qui avaient étudié les cartons de Michel-Ange et de Léonard de Vinci, pour les deux Batailles.
Continuer la lectureLe maniérisme à Florence
À Florence, la tendance descriptive caractéristique du maniérisme de la seconde moitié du XVIe siècle, pu incontestablement se donner libre cours.
Continuer la lectureLe Maniérisme à Rome
Le maniérisme romain s’exprime surtout dans la seconde moitié du siècle lorsque Rome dévastée en 1527 reprend son importance.
Continuer la lectureLe Parmesan, biographie
« On l’admire pour sa grâce et sa beauté ». C’est ainsi que Vasari fait référence à l’œuvre peut-être la plus connue de Parmigianino, la Vierge au long cou.
Continuer la lectureFlorence et l’Académie du dessin
L’apologie de l’artiste, le plaidoyer pour élever son état social et le dégager de la catégorie, méprisée, des artisans, avait commencé au XVe siècle avec Alberti.
Continuer la lectureLe maniérisme en Europe
Diffusé grâce aux voyages des artistes et à la circulation des modèles sous forme d’estampes, le phénomène stylistique du maniérisme acquiert une portée universelle.
Continuer la lectureLe Greco ou l’apogée du maniérisme
À Tolède, le Greco put développer sa propre manière, fondée sur une abstraction de plus en plus forte des formes.
Continuer la lecturePhilippe le Hardi
La cour de Bourgogne vit fleurir une littérature d’ouvrages pseudo historiques, de romans d’aventures orientales ou de biographies chevaleresques, sous l’influence de l’esprit de croisade.
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